Titre: Révolutionnaires , anarchiste , fouteur de merde , qui sommes nous ?
Sous-titre: Pour une philosophie de l'action
Auteur·e: Isia Rose
Date: 06/11/2023
Source: Je suis la source de ce documents , sa version papier en un seul exemplaire et en ma possesion .

Révolutionnaires , anarchiste , fouteur de merde , qui sommes nous ?

Pour une philosophie de l'action




De la morale, nous ne sommes ni les gardiens, ni les sauveurs, mais de perpétuels architectes en recommencement face aux expériences vécues. Tel est le sens premier et profond d’un révolutionnaire , celui que de ne se limiter ni aux injonction absurde des autorités ni aux pathétisme de sa propre naïveté .  Il ne peut, ni ne doit, négliger un quelconque aspect de son existence, ni des autres l'entourant. Il n'y a pas un rayon de la vie terrestre, qu'il soit paisible et féérique ou damnée et infernale, qui ne doivent échapper à l'œil et aux cœurs du révolutionnaire, sous peine de manquer à sa nature et à son devoir, que de réaliser l'œuvre de l'émancipation collective. Le révolutionnaire ne place pas sa souffrance ni celle des autres comme deux chose distincte , de plus il embrasse celle-ci sans lui vouer un culte malsain .  Ainsi, il ne la redoute pas en dehors de sa peur naturelle, il n'a pas peur de l'affronter en société, car elle n'est pas l'office de tabou. Elle entre dans l’ordre de quelque chose qui touche fondamentalement tout être humains .  L'anarchiste sait que, amis ou ennemis, la vie a le visage de l'autre, et le chemin de l'aliénation à la libération, aussi sombre soit-il, n'en est pas moins riche et fertile en expérience et en leçons. Il ne peut ni être trop fataliste, ni trop optimiste, et l'inclusion de ses souffrances et de la souffrance de l'autre dans le processus global qui fait le monde, le rend réellement apte à vivre et à percevoir en personne libre. Mais qu'est-ce que ces perceptions et ses aspirations à être libre ? Une culture de l'oppression et une contre culture de résistance, à un moment dit, d'une société dite. Le révolutionnaire a devoir que de maintenir et soutenir toute culture de résistance , car tout état , tout pouvoir  aliène , trompe et manipule ce qui fait les vérités morale et historique qui font la culture des peuples .  Ainsi il les contrôlent .  Toute anecdote, histoire, et documents rappelant une résistance et ou une auto-organisation de peuple et ou d'individu, est une richesse immense qui peut anhilier un pouvoir si bien utilisé. Car la culture de la résistance nous empêche de sombrer dans la folie. Elle empêche de perdre l'identité et la raison qui nous rappellent qu'un crime a été commis en notre esprit et en notre chair. La pluralité de culture et d’idéologie de résistance est nécessaire pour maintenir une mouvance révolutionnaire d’ une réel consistance , néanmoins afin d’éviter les paradoxe autoritaire que peut amener un système démocratique , sa base commune se doit être libertaire , c’est a dire a l’encontre de toute figure centralisante , afin d’empécher quiconque serait devenue trop envieux et égoïste de pourrir la lutte .  Nous sommes en absolue , les ennemie de toute absolutisme .
 . Car est perçut ce que nos contexte sociaux et culturel nous laissent percevoir , néanmoins ,  ils se tissent un lien commun entre des individus , des peuples , des groupes aux temporalité et localité aussi diverse que éloigner.  Ce lien c’est dans le devoir de préserver une dignité sacrifié par une autorités extérieure , c’est le naturel besoin inée a tout les individu et a tout les peuples , que de se maintenir en vie , libre .  La source de ce sentiments qui entraine cet unique réflexions , nous l’appelons l’anarchie .  La volonté de l’autonomie et de l’indépendance , sans chefs enivré aux grandeurs délirantes , sans intermédiaires entre acteurs de la vie culturel et économique , sans prédestinations religieuse d’oppressions de l’un sur l’autre , c’est cela que ici nous appellerons , l’oeuvre libertaire .  Cet oeuvre libertaire , tel que conçue ici ne vient pas de naitre , elle est le fruit de plusieurs siècles de luttes , de plusieurs groupe et classe .  Elle se veut l’intelligente intersections des pratique et des théories diverse qui ont animé et anime les luttes .  Elle se veut critique de tout , mais d’abord après elle même , elle ne saurait s’abuser dans sa clairvoyances, qui n’est ni un don ni une vertue , mais une nécessitée qui sert a la survie des culture et des individus .  Cet nécessité , elle ne se limite ni dans ses  réflexions, ni dans ces actions .  Le contexte , les besoins et conditions dans laquelle se développe la pensé révolutionnaire use de qui est nécessairement utile aux besoins que la situation implique .  Il n’y est pas non plus de légitimé induite a certain plus que d’autres dans la conscientisation et l’action révolutionnaire , sa simple exécution théorique ou pratique est suffisante . C’est ensuite a partir de cet premières expérience théorique ou pratique , que l’on doit juger jusqu’a ou on veut aller dans le processus révolutionnnaire ainsi que par quel moyens .  De méme pour ce que nous coutera cet abandon du confort et de l’aliénation , vers ce qui est un inconnue  . Mais en dehors du long processus théorique d’apprentissage,  des éléments de l’oppression rythme et marque notre existence , ces éléments sont a déniché et a décortiquer chez nous mémé mais en dehors aussi .  Car l’oppression , ses trauma peuvent éveiller en quelque seconde ce que le théoricien mettra une vie a conclure et inversement  .  Il est donc essentiel pour un changements social d’empleur que chacun soit acteur de l’émancipation social et qu’il est les capacité d’y exprimer ses expérience , trouvaille théorique et critique .  Sans que ceux ayant l’apparence extravertie des investit fasse de l’ombre a ceux qui soit sobre et silencieux .  Quoiqu’il en soit soit pour se défaire d’une idée , d’une injustice , d’un quiproquo , de quoique ce soit finalement , il faut y aller sans détour et sans déguisement.  Il faut pratiquer l’action directe .  Mais qu’est ce que l’action directe ?  Je citerais simplement Voltairine de Cleyre qui écrivait : « Toute personne quia eu le projet de mener une action, et l’a effectivement mené à bien , ou qu’il l’a exposé à d’autres afin d’emporter leur adhésion.  Sans demander à des autorités extérieures d’agir a sa place , a eu recours à  l’action directe .  Toutes les expériences coopératives sont essentiellement de l’action directes . Toutes personne qui a dû, au cours de sa vie , régler un différend et s’est aussitôt adressée aux indivis impliqués , de manière pacifique ou non a pratiqué l’action directe . »  Ainsi une fois cela dit , il est bon de rendre a l’action directe ce qui est a l’action directe en terme de morale et de rapport a la violence .  L’action directe c’est , dans no société actuel la reprise du processus démocratique du peuple par le peuple .  C’est la réapropriation de la culture et de la rue , du corps et de l’esprit , par les simples moyens qui s’offre nous .    Quand aux prisme sombre et ultra violent qui englobe le terme action directe , notons qu’il est dut aux tendance d’extrême droite s’étant approprié le terme ainsi que de l’intense défigurement que la propagande étatique a opérer a son encontre , je citerais une fois de plus Voltairine de Cleyre a ce sujet : « Qui sont au juste ceux qui , du fait de l’essence même de leur croyances , sont exclusivement engagés dans l’action directe ?  Précisément ceux qui ne croient pas du tout a la violence !  Mais ne vous méprenez pas , je ne pense pas que l’action directe soit synonyme de non violence : l’action directe peut être d’une extrême violence , comme elle aussi calme que les eaux de la fontaine de Siloé. » .  En bon révolutionnaire , il n’est pas honnête que de rendre un romantique culte autant a la fleur que aux fusils .  Il faut rester dans des notions allant de l’utile aux nécessaire quand on parle d’action touchant aux social .  Le premier autant que le deuxième sont des outils .  L’action pacifique est un outils d’équilibre morale entre l’autorité , le peuple et l’action mener , malgré des défaites matériel et humaine conséquente , l’on sauvegarde une forme d’impartial justesse vis a vis d’une morale plus ou moins établie .  Cela tuant dans l’essence même de l’autorité et des valeurs qu’elle véhicule pour commettre l’exploitation , le pilage , la guerre … etc . L’action violente elle , rentre dans le champ du  politique , l’on sort de la matrice culturel qui établie la morale et ses discussions tronqué , pour s’impliquer avec danger directement et immédiatement dans ce qui fait la société , c’est a dire ces individus et leur matérialité .  De plus , l’action violente amène un choc qui dans l’instant puis dans le temps va laisser une marque qui même si l’action violente en question n’aura pas porter ces fruits laissera dans la société un souvenir  , souvenir qui pour les individus locaux et les pouvoirs restera la source d’un danger éternel , celui du questionnement de son advenue et donc des idée de ceux l’ayant commis .  Elle est également dans le cadre d’une unité révolutionnaire , cadré en plusieurs degrés et point de départs .  Bien qu’elle puisse s’exprimer dans une même direction , les raisons de ou et comment elle advienne sont elle varié .  On n’est pas violent pour les mêmes raisons ni de la même manière .  Nos moyens d’action dépendrons de privilège économique et d’associations affinitaires .  La structuration d’une culture de la violence révolutionnaire est nécessaire dans la mesure de s’exercer dans le cadre de l’autodéfense populaire , de la militarisation décentralisé basé sur le volontariat et la démocratie directe , et de l’expression contenue de la violence .  Le viol n’est pas permis dans la guerre révolutionnaires , et uniquement dans le cadre de celles ci , la morts devrait se trouver aux bout du chemins de ceux qui agissent ainsi .  De méme que les profanations , mutilations de cadavres et provocations envers le camps énemies .  Sans parler d’exactions contre des civils qui est une méthode n’ayant rien avoir avec l’idéologie libertaire .  Car le meurtre de l’individu par l’individu , n’est pas ici posé dans l’affrontement fanatisé entre deux masse , mais comme le devoirs d’un groupe large que d’éliminer les leaders et figure d’un  pouvoirs et ses mécaniques structurant , la guerre ,l’exploitation ,  le viol , l’écocide et le colonialisme .  Car ceux qui fesait la force de la hiérarchie fait ici sa faiblesse , la figure de l’ icône , leaders et acteur des grandes oppressions , sont éliminé ou constament en proie a l’élimination .  Ainsi la masse de gens qu’ils auront aliéné aura plus ou moins deux choix , qui seront de soit se détourner de leur emprise culturel et matériel , soit poursuivre l’œuvre de leur figure martyrsé en perpétuant leur visions et codes .  Néanmoins ceux qu’on appelle les avant gardes sont les plus déterminé et radicaux , ils meurent avec le fanatisme qu’ils amménent .  C’est sur ce même constats que les états ont brisé nos révolutions .  Mais a l’époque nous n’avions pas comprit qu’ils était aussi enfantins que nous dans leur folklore .  Mais pour endiguer l’option des disciples devenant des prophètes , la nécessité d’une structuration de l’entraide mutuel , de la solidarité , de l’autonomie et de l’action non violente doit être établie en parallèle de la lutte armé . Ainsi, les structure associative qui autrefois combler les failles de l’organisation de l’états , le remplace .  La lutte armé défaisant la répressions en plus de sauvegarder l’auto-organisations .  Il n’y a pas a prouver par une machiavélique dialectique et un méthodique massacre la vertue prétendument grandiose d’un mode politique .  Puique celui-ci fonctionne , s’adapte en plus d'être défendu et d'être la volonté propre de ceux composant la société .  Il est devient également plus dure pour la propagande  de détourner les propos et action mener , puisque n’étant pas une expressions isolé envers une cible visé , mais une réaction globales a des conditions oppressive systémiques , émanant de tout les aspect de la société .
Une société libre , tendant vers l’anarchisme , n’est possible que par les paysans , ouvriers , artisans , intellectuels , eux mêmes .  Ni les armés révolutionnaires ; ni les héros isolé , ni les groupes militant ne seront crée une vie libre pour ceux qui la demande .  Elle est le fruit des oppressé aux même.  Qui peuvent accéder a leur bien être commun et individuel par l’action directe et des efforts conscients .  Les dieux , les Caesar et les tribuns , qu’ils arborent des chiffons rouge ou noir , ne servent que le folklore de leur fantasme , la seul chose qui puissent métrer utilement aux services de nos causes sont les livres et les micros .  En parlant des dieux , les croyants chrétiens , juifs et musulmans sont touste nos frères et soeurs .  C’est l’Eglise , ses chefs , son institution qui sont ennemies des peuples et de leur foi , pas ses adeptes .  De méme que pour toute les culture indigènes et autocthtone  . Les anarchiste doivent savoir faire la différence afin de lutter efficacement et pas en opposition avec ceux-ci .  La pluralité idéologique ne s’arrête par  l’athéisme .  Nous veillons a la création de peuples et individu libre , pas de bon petit libertaire  .  Car Il est aveugle st inconsidéré , que de mettre la personnification de la révolution dans des figures romanesque , aux positions douteuse .  C’est s’amoindrir que de ne penser qu’a travers une figure unique .  Le spectre très large qu’enveloppe l’anti-autoritarisme et la volonté d’indépendance , permet a l’anarchisme une pluralité d’expérience pratique et théorique , local , international et presque intemporel .  Son anti-authoritarisme fait sa contradiction et sa force , dans le sens ou elle permet a la fois aux figures les plus active et pertinente de faire acte de l’idéologie et mener celle-ci bien , ainsi que de se protéger de ces mêmes figures et de leur volonté plus ou moins inconsciente de monopoliser , s’accaparer et finalement personnifié les organisations et les luttes .  C’est dans la confiance de l’expérience vécue d’autrui et la méfiance de sa naiveter , que s’opère la démocratie directe .